Concevoir des jeux vidéo pour aider les enfants dyspraxiques

Abstract

0.a.
Abstract
Nowadays, dyspraxia is a problem that hurts many children. Today only a few solution exist. Unfortunately, this disease cannot be cured, but that doesn’t mean we can’t help these children. Indeed, we can teach them how to accept and live with their handicap. But for that it’s necessary to be able to diagnose this disease as soon as possible in order to be able to take the necessary measures.

That’s why this article studies how to help dyspraxic children using video games. We will see how video games can contradict fake image of toxic things we created ourselves about them. Some people already use video games to rehabilitate people who have suffered of AVC. Like Bym, a company that create a video game to play at home. With it you can get better without intervention of a doctor, and having fun ! This company focuses their research in AVC and Parkinson trouble. And customers review are very positive.

The video game that catches our attention is Brûme. Its goal is to help dyslexic children with their handicap, but also to help diagnose dys children and offer them solutions. We found this solution really interesting because a child would not be happy to go and see a doctor to get diagnosed, while playing a video game would make him immediately more motivated.

I have relied on a study carried out by an Italian team who have done survey that proves that action video games help children. We will see that video games can help children to improve their reading speed, their attention, their vision,…

We will talk with a psychomotor therapist, Lucille BADIN. According to her professional view, we will begin to develop research tracks in order to design useful video games for children and parents.

Introduction

0.b.
Introduction
De nos jours, les jeux vidéos sont de plus en plus utilisés à des fins thérapeuthiques. Par exemple pour faciliter la rééducation motrice à la suite d’un Accident Vasculaire Cérébral (AVC). Plusieurs entreprises ont étudié le sujet comme Bym une startup rennaise ayant mis en place un jeu sur tablette afin d’accompagner le mouvement de rééducation.
0.c.
Bym
0.d.
L'existant
0.e.
Brûme
Mais il existe encore beaucoup de maladies pour lesquelles ce n’est pas encore très développées comme la dyspraxie où un seul jeu existe : Brûme et celui-ci cible les dys en général plus particulièrement les dyslexiques. Et pourtant la dyspraxie touche quand même entre cinq et dix pourcent des enfants. Brûme permet à des enfants dyspraxiques d’effectuer des mouvements simples et utiles à l’amélioration de leurs capacités tout en s’amusant. Le jeu étant en cours de développement, les créateurs ne nous donnent pas d’avantages de précisions.
0.f.
Problématique
Il y a plusieurs types de dyspraxie, dans ce mémoire nous allons nous intéresser à la dyspraxie visuo-spatiale ou trouble développemental de la coordination. Le problème est que la dyspraxie ne se soigne pas vraiment, on ne peut qu’apprendre à l’enfant à vivre avec son handicap et à trouver des solutions alternatives pour effectuer ce qu’il n’arrive pas à faire.

Cela m’a amené à me demander s’il serait possible de concevoir des jeux vidéo destinés aux dyspraxiques.
1.a.
Partie 1

I. La dyspraxie visuo spatiale :
Une représentation troublée de l’espace

1. Qu’est ce que la dyspraxie visuo-spatiale

1.b
La dyspraxie
Les habiletés visuo-spatiales sont "les capacités mentales à percevoir et manipuler des objets en deux ou trois dimensions"
(Rauch et Savage, 1997).
Pour commencer le mot dyspraxie viens du grec ancien πρᾶξις, praxis dérivé de praxie qui signifie “action”. Il est précédé du préfixe “dys-” qui indique une difficulté ou un mauvais fonctionnement. La dyspraxie est donc globalement un malfonctionnement du geste, du mouvement.

La dyspraxie est perceptible à partir du moment où il faut une aide pour certaines actions de la vie quotidienne (couper sa viande, écrire, lire, marcher, faire du vélo, etc) au-delà de l’âge théorique d’acquisition.

5 à 10% des enfants scolarisés sont touchés par des troubles dys, ainsi en France plus de 7 millions de personnes en souffriraient.

Il existe une multitude de type de dyspraxie tel que :
Trouble dans l’organisation du geste + trouble du regard (gestes oculomoteurs).

Difficultés à voir le relief (descendre des escaliers…), se repérer dans un lieu, dans un texte, sur une feuille, sur un plan…

Difficultés à assembler (legos, cubes, bricolage, puzzles…).

Difficultés à utiliser et manipuler des objets et des outils (stylo, compas, couteau,…).

Difficultés à mimer, imiter des gestes.

Difficultés à s’habiller, boutonner, lacer…
Difficultés à articuler, parler, siffler, souffler les bougies, déglutir… A ne pas confondre avec la dysphasie (trouble du langage oral).
Dans le cas de la dyspraxie visuo-spatiale on parle de trouble des habiletés visuo-spatiales.
1.c.
La dyspraxie visuo-spatiale
La dyspraxie visuo-spatiale sur laquelle nous allons nous concentrer crée trois troubles principaux : des troubles de la praxie (du geste), ce qui induit des difficultés dans l’écriture et dans les gestes du quotidien où l’enfant montre une certaine lenteur. Il fait aussi le plus souvent preuve de maladresse. Mais aussi des troubles du regard qui induisent des problèmes de calcul mental, de confusion des lettres et de dénombrement et enfin des troubles de l’organisation spatiale et temporelle.
Faire du vélo ou du ski, manger avec des baguettes et écrire correctement ces actions sont des gestes acquis. Llorsque l’on a l’habitude, l’entrainement et bien ils deviennent complètement automatisés par notre organisme. Ces actions, quelqu’un atteint de dyspraxie visuo-spatiale ne va pas savoir les automatiser, elles vont lui demander une grande concentration et il sera donc incapable de réaliser autre chose simultanément. Il va aussi avoir du mal à appréhender l’espace, à situer les objets les uns par rapport aux autres mais également à les orienter par rapport à lui-même. Lorsqu’il écrit il se concentre à 100% sur la calligraphie et non sur la compréhension il lui est donc très compliqué de mémoriser un texte en le recopiant ou en l’écrivant.
Malgré tout cela les enfants atteint de dyspraxie visuo-spatiale ont des connaissances, des capacités de conceptualisation et de raisonnement normales parfois même supérieures à la moyenne. Leur maladie s’accompagne aussi souvent de troubles psychologiques suite à des années de souffrance en classe, d’incompréhension et de mise à l’écart.
De nombreux aménagements peuvent être mis en place dans l’environnement de l’enfant pour parer sa maladie comme adapter l’espace en le balisant, éviter les tâches de copie et adapter les présentations, mettre en places des stratégies qui seront réutilisées dans d’autres contextes, privilégier les consignes orales, développer l’imagination et les représentations mentales et enfin favoriser un découpage séquentiel des activités afin d’éviter les doubles tâches.
La dyspraxie ne se soigne pas, le patient apprend uniquement à vivre avec en développant des stratégies compensatrices. L’avantage de faire suivre une personne atteinte de dyspraxie jeune est donc qu’elle s’habitue plus rapidement à vivre avec et à maîtriser son handicap plus jeune. Cela diminue ou anéantit donc le mal être qu’il pourrait avoir psychologiquement. Aujourd’hui on compte jusqu’à deux ans d’attente pour obtenir un diagnostic. Souvent, pour les familles cela est trop complexe voir impossible. L’enfant parle difficilement ou écrit mal, l’apprentissage est difficile et les parents ne savent pas à qui s’adresser. En général, ces derniers s’adressent au pédiatre ou au médecin traitant, qui ne sont pas forcément rompus à ces problèmes. Ce sont les neuropsychologues qui proposent, en général, un diagnostic complet et qui coordonnent les mises en place. En fonction des besoins, il orientera alors vers d’autres professionnels : des orthoptistes; des posturologues, des psychomotriciens ou encore des kinésithérapeutes.

2. La prise en charge et l’accompagnement par des professionnels

1.d.
La dyspraxie visuo-spatiale
Nous avons posé quelques questions à Lucile BADIN, une psychomotricienne localisée à Saint Quentin Fallavier. Elle a pu nous en apprendre davantage sur le contenu des séances ainsi que sur les méthodes et les difficultés dans la prise en charge des enfants atteints de dyspraxie visuo-spatiale. Voici les réponses qu’elle nous a données sur les méthodes de rééducation actuelle :
“Cela dépend du motif de consultation… (difficultés en graphisme, mathématiques, géométrie, lenteur d’exécution…). Les habiletés visuo spatiales comportent un versant perceptif et moteur indissociable, donc pour ce qui est de la psychomotricité nous allons chercher à développer les compétences :
  • de motricité
  • d’oculomotricité
  • de perception visuelle
  • de l’attention
  • de la mémoire
Par le biais de jeux moteurs (mettant à l’œuvre l’utilisation de l’espace et du corps) et de jeux à table (compréhension de la visuoconstruction, du 2D ou 3D, …)”
“Jeux moteurs, jeux à table Il faut mettre l’accent sur le renforcement positif car très souvent il y a un manque de confiance en soi.
Mettre l’accent sur le ludique de la séance car très souvent, l’enfant se sent en échec, et est à remotiver“

“Elle se passe surtout au cabinet, mais le but est de donner des billes aux parents pour
qu’ils puissent avoir certains réflexes pour faire “travailler” leur enfant sans qu’ils s’en
rendent compte.
Pas d’exercice concrets donnés à la maison, mais des préconisations de jeux de société
(qui favorisent le développement des habiletés visuo-spatiales) à faire en famille,
pourquoi pas !”

“Pour les jeux moteurs, imagination avec des obstacles de parcours psychomoteur, des ballons, et surtout, le corps.
Pour les jeux à table, jeux de société mettant en oeuvre les capacités visuo constructives / visuo perceptives (perfection, puzzles, lego, cubissimo, go getter, blokus, rush hour, castle logic, tangram, atelier topologie, topologix….)“
“Rendre la séance ludique, verbaliser ses émotions (tant l’enfant que l’adulte), normaliser l’erreur, valoriser l’essai / l’effort…”
Ce que l’on retient de ces réponses est qu’un enfant dyspraxique visuo-spatial se sent souvent en échec et manque de confiance en soi.
C’est pourquoi Lucile insiste sur le fait de rendre les séances ludiques, en faisant en sorte que l’enfant joue à des jeux qui lui seront utiles dans sa perception et sa manipulation de l’espace. Elle parle aussi de “normaliser l’erreur” et “valoriser l’essai / l’effort” ce qui est particulièrement intéressant.
En effet on pourrait penser que faire en sorte qu’il n’y ai peu ou pas d’échec serait le mieux. Or Lucile nous fait comprendre que l’échec n’est pas mauvais, ce n’est pas une fin mais une source de progrès et il faut le faire comprendre à l’enfant pour qu’il avance avec sa maladie.
2.a.
Partie 2

II. Développer les capacités grâce à des espaces de jeux virtuels

1. Liberté virtuelle du mouvement

2.b.
L'expérience
D’après mes recherches suivantes et mon expérience personnelle sur les jeux vidéos, ils pourraient être une évolution importante dans l’accompagnement et l’aide des enfants dyspraxiques.

En effet étant un joueur aguerri, j’ai pu me rendre compte que les jeux vidéos m’ont permis d’améliorer mon anglais, mon observation et mes réflexes.

D’autre part, le fait que de nos jours les enfants sont de plus en plus proches des technologies et des jeux vidéos va conforter notre idée d’améliorer l’accompagnement des enfants dyspraxiques. Il faudrait alors trouver une mécanique de jeu vidéo, des couleurs et un univers graphique attirant pour l’ensemble des enfants dyspraxiques ou alors proposer une expérience personnalisable afin d’adapter la séance de ces enfants ayant tous des besoins et des aides très précis.

Les enfants sont plus souvent attirés par des jeux ayant un univers unique, tel que des personnages drôles, uniques, personnalisables. Leurs but va alors être de débloquer des personnalisation pour leur avatar afin de pouvoir se vanter auprès de leurs amis. Son but ne va alors pas être de gagner mais de posséder un item (objet) que les autres n’ont pas.

En parlant de personnalisation on pense évidement au jeu Fortnite qui est le grand gagnant dans ce domaine. En plus d’avoir un univers graphique unique (cartoon) ainsi qu’une multitude de personnages différents, il possède aussi des possibilités de personnalisation infini. Et cela explique le fait que ce jeu soit un des plus populaires auprès des enfants/adolescents du moment.

En outre, en parlant de l’expérience de jeu, si le jeu vidéo est si populaire chez l’enfants c’est aussi qu’il lui permet une certaine liberté, pouvoir. L’enfant pourra faire des choses qu’il ne sait pas faire dans la vie réelle et se sentira alors meilleur. Pour un enfant n’étant pas atteint de dyspraxie cela peut être voler, conduire une voiture ou encore faire des acrobaties mais pour un enfant dyspraxique cela peut se résumer à faire du vélo, descendre des escaliers, tenir en équilibre sur un tronc d’arbre, etc.

Chaque enfant dyspraxique aura des besoins différents et des performances différentes. Pour s’adapter à un maximum d’enfant le mieux serait alors de pouvoir personnaliser l’expérience, la difficulté, les jeux, l’univers, etc.
2.c.
Étude
En 2013, une étude d’une équipe Italienne dirigée par Andrea Facoetti sur les jeux vidéo d’actions et la lecture à réussi à prouver que les jeux vidéo d’action améliorent les performances en lecture.

L’étude menée était assez simple, deux groupes d’enfants n’ayant jamais joué à des jeux d’actions ont été créés :

  • Les enfants du premier groupes ont joué à des jeux d’actions à hauteur de 1h30 par jour pour 12h d’entraînement au total étalé sur plusieurs semaines.
  • Tandis que le second groupe jouait à des jeux de “non-action” sur la même durée.

Les chercheurs ont réalisé deux mesures des compétences en lecture de ces enfants  :

  • T1 : Avant l’étude
  • T2 : Après l’étude
Les résultats sont exposés sur ce graphique on observe que pour le groupe “non-action” le temps de lecture reste un peu près similaire avant et après l’étude. Mais au contraire pour le groupe “action” le temps de lecture passe de 260 à 200. En conclusion il y a donc une nette amélioration du temps de lecture lorsqu’un enfant joue 12h à des jeux vidéo d’action sur plusieurs semaines.

Une piste de mécanique de jeu serait donc les jeux vidéo d’action, se caractérisant par des images en 3D, des cibles en mouvement, des apparitions de cibles aléatoires ou encore par une nécessité de réponse rapide. Uniquement pour améliorer la lecture, il faudrait maintenant effectuer une étude similaire sur la visualisation de l’espace et les gestes.
2.d.
Avis professionel
Nous avons posé à Lucile BADIN quelques questions sur le sujet. Et, malgré qu’elle n’utilise aucune nouvelles technologies au cours de ses séances, elle paraissait favorable à l’idée que les jeux vidéos pourraient apporter une amélioration à la rééducation des dyspraxiques. Elle nous à cependant évoqué une limite que voici :
“- Pour les moins de 10 ans je ne pense pas. Les enfants que je reçois ont très souvent des difficultés de concentration. Les tablettes, téléphones, ordinateurs les ‘hypnotisent’. Je pense qu’ils seraient moins à l’écoute des ressentis et qu’ils ne verbaliseraient pas leurs émotions, etc…

– Pour les plus de 10 ans et adultes, oui, pour une partie de la séance, par exemple pour la partie “jeux à table”. Tout en gardant un moment sans tablette pour échanger sur les ressentis, et pour pratiquer des exercices plus corporels.”

Ceci nous amène à nous poser la question de l’éloignement de l’écran: l’utilisation du son ou
du toucher par exemple. Voire même la suppression de l’écran ou l’utilisation d’autres écrans type led, beaucoup moins addictifs pour les jeunes.

2. Augmenter l’espace réel

2.e.
Espace et projection
Si l’utilisation d’écrans pour les enfants de moins de 10 ans s’avère compliqué nous pourrions alors nous tourner vers l’augmentation de l’espace réel en créant des scénarios, des jeux en projection, de lumière.. Afin de ne pas avoir recours à l’écran et ne pas monopoliser l’attention de l’enfant.
En outre, nous pourrions aussi imaginer un jeux vidéo qui propose par lui-même d’aller rencontrer d’autres personnes, ou d’aller discuter avec le professionnel de santé. Comme ceci les “moments d’échange sur les ressentis et la pratique des exercices plus corporels” seront conservés.

Il serait alors intéressant de créer un jeu vidéo qui utilise l’espace réel comme augmentation du jeu. L’enfant aurait alors un temps sur le jeu vidéo et celui-ci lui proposerait d’aller chercher une information, un objet ou d’aller faire une action à un autre endroit de la pièce où il réaliserait alors des exercices corporels.
C’est alors que la question du contrôleur et de l’espace se pose.
De plus la question des parents se pose également car certains parents pourraient être réticents à l’idée d’intégrer des jeux vidéo dans l’accompagnement de leur enfant. D’autant plus que de nos jours la question de la dépendance aux jeux vidéos est “l’une des préoccupations majeures des parents”. Cette solution pourrait être une bonne piste car on inciterait l’enfant à quitter son écran pour aller découvrir le monde qui l’entoure.
2.f.
Complément de séance
En outre, une autre question apparaît, c’est celle du lieu et du cadre de l’utilisation du jeu à ces fins. Le jeux vidéo pourrait aussi être un complément des séances régulières chez un professionnel. Nous avons posé cette question à Lucille BADIN :
“Elle se passe surtout au cabinet, mais le but est de donner des billes aux parents pour qu’ils puissent avoir certains réflexes pour faire “travailler” leur enfant sans qu’ils s’en rendent compte. Il n’y a pas d’exercices concrets donnés à la maison, mais des préconisations de jeux de société (qui favorisent le développement des habiletés visuo-spatiales) à faire en famille, pourquoi pas !”
On peut alors imaginer que le jeu vidéo puisse intervenir dans le rapport parents-enfant. Par exemple par un jeu à réaliser en famille (type Wii) qui pourrait aider les enfants avec leur handicap et les parents avec le rôle qu’ils jouent dans l’accompagnement de leur enfant. Le jeu viendrait en parallèle guider les parents en les faisant intervenir dans l’accompagnement de l’enfant grâce au jeu vidéo. Par exemple lorsque l’enfant joue, un parent recevrait une notification de quelque chose à dire ou à faire avec l’enfant lorsque qu’il viendra vers lui.

En effet, comme nous l’a exprimé Lucile BADIN les séances se déroulent uniquement au cabinet et ne se prolongent pas à la maison, si ce n’est par des conseils sur des habitudes à prendre ou des jeux de société qui pourraient aider.

Conclusion

3.a.
Conclusion
En conclusion, la dyspraxie visuo-spatiale altère les performances du geste, du regard et de l’organisation qui peuvent être améliorées par des exercices divers et variés. Mais concrètement dans la vie de tous les jours ces troubles physiques en font apparaître d’autres sur le plan psychologique qu’il faut aussi prendre en compte.

La conception d’un jeu vidéo d’action pourrait être une plus value dans le processus d’accompagnement des enfants atteint de dyspraxie, mais il faudrait cependant pour l’intégrer en cabinet pouvoir le mêler à des exercices corporels ou encore à des moments d’échange. Pour cela nous avons pu voir plusieurs pistes d’utilisation de l’espace en complément du jeu vidéo. Ou encore de complément de séance effectué à domicile par l’enfant et les parents.

Pad'Iday

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